Ensemble, April-Mai 2025

Quand on mange au chaud le gâteau (de Noël), on mange les oeufs (de Pâques) derrière le fourneau. (dicton français) Wenn es Weihnachten warm genug ist, dass man den Kuchen draußen essen kann, dann isst man die Ostereier am Ofen. (französisches Sprichwort) Erinnern Sie sich noch an das Wetter zu Weihnachten????
“Das Wetter in Frankreich im Dezember 2024 ist unglaublich kalt mit Temperaturen on 4°C und 8°C. Es wird empfohlen, dass Sie sich in warmen Schichten kleiden und daran denken, Ihre Handschuhe mitzubringen! In Frankreich ist ungefähr für die Hälfte des Monats Dezember mit Regen zu rechnen.”


Liebe Mitglieder, chères amies et chers amis,
Pâques – Ostern: Que cette belle journée soit remplie de bonheur, de partage et de délicieuses gourmandises! Joyeuses Pâques ! Möge dieser schöne Tag erfüllt sein von Glück, Momenten des Miteinander und köstlichen Leckereien. Ein schönes Osterfest!


Der folgende Text wird ausnahmsweise nicht übersetzt. Einige Mitglieder hatten uns gebeten, auch einmal etwas Französisches aufzunehmen, damit sie ihre Kenntnisse testen können. Also: nur Mut: Testen Sie Ihre Sprachkenntnisse. Sollten Sie diesen Artikel nicht lesen wollen, dann lesen Sie einfach unten weiter, wo Sie die Informationen zum Konzert des Trio Fragment und zum geschichtlichen Hintergrund der Plakette auf dem Hof Meyer zur Müdehorst und Berichte über die
Veranstaltungen finden, die viele landeskundliche Informationen enthalten.


“Les traditions de Pâques existent néanmoins, que l’on célèbre cette fête pour des motifs religieux ou non :
Dans les familles qui tiennent aux traditions pascales, dimanche est l’occasion de préparer et de manger l’agneau de Pâques (gigot d’agneau ou dessert en forme d’agneau en Alsace) ou la pâté de Pâques dans certaines régions. L’agneau est traditionnellement consommé lors de cette fête, en souvenir de l’agneau sacrifié avant l’exil d’Egypte, afin de protéger les premiers nés Hébreux de la dixième plaie d’Égypte. Mais, il fait également référence à Jésus qui s’est sacrifié pour racheter
le péché des Hommes. L’agneau est considéré comme un symbole de pureté et de justice.


Dimanche de Pâques, il y a la messe de Pâques et les cloches des églises résonnent un peu partout. Les cloches de Pâques » sont de retour » et apportent les chocolats que les enfants vont chercher dans les jardins, et dans les parcs publics dans certaines villes.


De manière générale, Pâques c’est l’occasion de se retrouver en famille pour beaucoup de Français. En effet, comme Pâques a lieu entre mars et avril, cela coincide avec le début du printemps, et certaines années, la possibilité de manger dans le jardin et de profiter du soleil. On s’offre aussi mutuellement du chocolat.
Pâques : d’où vient la tradition des oeufs en chocolat ?
L’œuf est un symbole fort de fertilité et de renaissance. Il est donc la représentation idéale du Printemps. En France, cette tradition est liée aux fêtes de Pâques à partir du XIIIe siècle. Les
œufs de poule, cuits, sont peints en rouge pour rappeler le sang du Christ, avant d’être offerts. Cette tradition est d’autant plus symbolique qu’il est interdit de consommer des œufs pendant le Carême (période de jeûne de 40 jours qui précède Pâques).


Au fil des siècles, les décors de ces œufs sont de plus en plus raffinés, comme en témoignent les œufs ornés par Watteau et offerts à une fille de Louis XV, ou encore les célèbres œufs de Fabergé commandés par la famille impériale russe.
Le chocolat n’arrive que très tardivement dans cette tradition. À partir du XVIIIe siècle, dans les hautes sphères de la société, certains œufs sont vidés pour être remplis de chocolat liquide. Ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle, que la technique permettant de solidifier le chocolat, est mise au point. Elle se démocratise à la fin du Second Empire. Depuis cette époque, les fêtes de Pâques sont associées aux œufs, poules et autres figures en chocolat !


Mais qui apporte ces chocolats dans nos jardins et maisons ?
​​​​​​​En France, dans la plupart des régions, la tradition est celle des cloches. Parties à Rome depuis le Jeudi Saint, jour où elles ont cessé de sonner, les cloches sont supposées revenir le jour de Pâques dans nos églises. Sur leur trajet, elles annoncent la résurrection du Christ et sèment sur leur passage une multitude de chocolats et de confiseries.

Enfin, Pâques c’est le renouveau, et comme c’est en avril et que le lundi est férié, c’est aussi synonyme de vacances pour beaucoup de Français. On sort enfin de l’hiver, le printemps est là, c’est aussi les vacances scolaires des enfants et on commence à avoir envie de passer des week-ends au soleil où à l’autre bout du monde.


Pour terminer cet article en beauté, voici quelques recettes typiques pour célébrer
les fêtes de Pâques :
​​​​​​​https://cuisine.journaldesfemmes.fr/idees-recettes/2640229-recettes-paques-2022-entrees-plats-desserts-nos-idees/

Joyeuses Pâques à tous ! (Quelle: https://www.accentfrancais.com/fr/blog/tradition-paque-france-montpellier)
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Und nun zu den kommenden Veranstaltungen:


Am 8. Mai 2025 findet das deutsch-französische Konzert En-Liberté – Chansonreise durch das Leben der Sängerin „BARBARA“ an der „Grenze zwischen Frankreich und Westphalen“ statt. Eintritt: 15 € / erm.: 10 €, Reservierungen und Vorverkauf: Mail an: info@hofcafe-zur-muedehorst.de oder
an: a-gummersbach@gmx.de
weitere Informationen unter: www.triofragment.eu


Bei der Drucklegung des Flyers konnte das Konzert im Hofcafé zur Müdehorst noch nicht berücksichtigt werden. Deshalb haben wir Ihnen bereits eine Sondermail bezüglich dieses Konzert geschickt. Der Vorverkauf hat begonnen.


Als Napoleon 1811 Norddeutschland annektierte, wurde der Schwarzbach in abenhausen zur Staatsgrenze. Somit befanden sich die Felder des Bauern Meyer zur Müdehorst zum Teil in Westfalen und zum Teil in Frankreich. Für die Häuser auf der nördlichen Seite des Schwarzbachs war die Hauptstadt Paris. Ein Hinweisschild der Deutsch-Französischen Gesellschaft an der Scheunenwand des Hofes zur Müdehorst macht auf diese französische Episode in unserer Stadt
aufmerksam. Nichts liegt also näher, als genau auf diesem Grenzstreifen ein deutsch-französisches Konzert zu veranstalten, in dem die Freundschaft zwischen den beiden Ländern Thema ist.
Die französische Chansonikone „BARBARA“ hatte in ihrem Lied „Göttingen“ nach einer Konzertwoche im gefühlten „Feindesland“ ihre Liebe zu den Deutschen ausgedrückt und damit deutsch- französische Versöhnungsgeschichte geschrieben.


Das Trio Fragment, Cécile Verdin, Jean Zimmermann und Andreas Gummersbach, möchte auf der Grundlage ihrer eigenen Freundschaft an Hand der Lieder Barbaras die besondere Beziehung zwischen den Ländern thematisieren und der Tendenz der Abgrenzung die Schönheit der Begegnung und der Verbindung entgegensetzen. Die musikalisch-sinnliche Erfahrung kann kulinarisch durch den Genuss köstlicher Flammkuchen oder Pickert ergänzt werden. Ihre Freunde und Bekannten sind herzlich willkommen.


Die Themen bei der Table ronde am 30.04.2025 werden Ihnen noch bekanntgegeben. Die politische Situation in Frankreich und die geopolitische Lage entwickeln sich im Moment so rasant, dass sicherlich aktuelle Themen von Herrn Houdus kurzfristig aufgenommen werden. Spannend sind die Themen allemal.


Die Rencontres du jeudi (24.04. und 29.05. 2025) erfreuen sich nach wie vor großer Beliebtheit. Seien Sie also herzlich willkommen.


Und nun zu den beiden Filmen in französischer Sprache mit deutschen Untertiteln:
La Bête – The Beast am 28.04.25
“Dans un futur proche (en l’an 2044) dans un Paris désert où règne un chômage très élevé en raison de l’intelligence artificielle, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s’en débarrasser, Gabrielle (Léa Seydoux) doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l’envahit, le pressentiment qu’une catastrophe se prépare. Porté par l’interprétation envoûtante de Léa Seydoux, le premier film de science-fiction du réalisateur Bertrand Bonello offre un audacieux voyage spatiotemporel et émotionnel sur fond d’avènement de l’intelligence artificielle.

Wir sind im Jahr 2044. Im leergefegten Paris herrscht eine hohe Arbeitslosigkeit, weil eine KI nicht nur alle gesellschaftlichen Fragen bestimmt, sondern viele Aufgaben auch direkt selbst erledigt und die Verteilung der übrigen Arbeit übernimmt. Gabrielle Monnier (Léa Seydoux), muss jedoch ihre DNA „reinigen“ lassen, da in dieser Welt Emotionen zu einer Bedrohung geworden sind, hindern sie die Menschen doch daran, vollkommen rationale und damit KI-konforme
Entscheidungen zu treffen. Dieser erste Science-Fiction-Film des Regisseurs Bertrand Bonello bietet eine gewagte raumzeitliche und emotionale Reise vor dem Hintergrund des Aufkommens der künstlichen Intelligenz.”


Le comte de Monte-Christo – der Graf von Monte-Christo am 26.05.25
“Victime d’un complot, le jeune Edmond Dantès est arrêté le jour de son mariage avec Mercedes pour un crime qu’il n’a pas commis. Après quatorze ans de détention au château d’If, il parvient à s’évader. Devenu immensément riche, il revient sous l’identité du comte de Monte-Cristo pour se venger des trois hommes qui l’ont trahi représentant les pouvoirs militaire (Bastien Bouillon), judiciaire (Laurent Lafitte) et financier (Patrick Mille). Cette nouvelle adaptation du roman
d’Alexandre Dumas par Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière est une très grande réussite. Il s’accroche au drame personnel vécu par Dantès, incarné par un Pierre Niney étonnant de noirceur.


Marseille, 1815. Die großen Träume des jungen Edmont Dantès (Pierre Niney) stehen kurz vor der Erfüllung: Er kann endlich Mercedes, die Liebe seines Lebens, heiraten. Doch Erfolg schürt Neid und Edmond wird von Rivalen als Mitglied einer pro-bonapartischen Verschwörung denunziert. Ohne Gerichtsverfahren wird er zur Haft im Inselgefängnis Château d’If verurteilt und eingekerkert. Erst nach vierzehn Jahren gelingt Dantès eine abenteuerliche Flucht, auf der er nicht nur seine
Freiheit gewinnt, sondern auch in den Besitz des legendären Schatzes von Monte Christo gelangt. Nun soll ihm ein ungewöhnlicher Plan dazu verhelfen, seinen Durst nach Rache an den Verrätern zu stillen…”


Und nun ein Rückblick das sehr interessante Angebot in den letzten vier Wochen in nicht chronologischer Reihenfolge:


Die Jahreshauptversammlung am 19.03.2025 war recht gut besucht. Wir sind über die Wahl von Frau Elebracht in den Beirat sehr erfreut. Sie unterstützt uns bereits bei der Umsetzung des Projekts Unbegrenzt miteinander und barrierefrei vernetzt. Un chaleureux bienvenue!
Alle weiteren Informationen entnehmen Sie bitte dem Protokoll, das Ihnen noch gesondert zugehen wird.


Das Auftaktkonzert zum Jubiläumsjahr war gut besucht. Unser Dank gilt Regine Ortmann, die hauptverantwortlich in der Organisation und Durchführung für diesen wunderbaren musikalischen Genuss verantwortlich war.
Musikalischer Auftakt ins Jubiläumsjahr mit Sigurd Müller (Cello) und Claudia Kohl (Klavier) Typisch deutsch? Typisch französisch? Der Abend mit den Künstlern von hohem Rang, die in dem wunderbaren Ambiente des Hauses Wellensiek Werke von Beethoven, Offenbach, Fauré und Saint-Saëns zum Besten gaben, bescherte den Zuhörerinnen und Zuhörern nicht nur ein perfektes Klangerlebnis, sondern auch neue Erkenntnisse zu den bekannten Komponisten, auf die Sigurd Müller das Publikum aufs Vortrefflichste vorbereitete Beethoven, eindeutig deutsch, dachte in seiner Zeit international. Den Ruf nach Freiheit, Gleichheit und Brüderlichkeit in der Französischen Revolution empfand er als Befreiung. Seine Sinfonie Eroica (die erste Bezeichnung lautete Buonaparte) schrieb er unter diesem Einfluss. Er beabsichtigte sogar nach Paris zu ziehen. Als
sich dann aber Napoleon selbst zum Kaiser der Franzosen krönte, war er über diese Rückentwicklung des politischen Systems angeblich so zornig, dass er die Sinfonie umbenannte. Aus BUONAPARTE wurde EROICA.


Die Sonatina für Mandoline und Cembalo schrieb Beethoven 1795. Und wie so häufig im Leben der großen Komponisten war eine hübsche adelige Mandolinenspielerin Inspiration für dieses Werk, das der junge Beethoven komponierte. Hélas – schade für den Komponisten: Weder die Annäherung an die junge Adelige noch die Sonatina waren erfolgreich – im Gegensatz zur Darbietung am Konzertabend, an dem Claudia Kohl und Sigurd Müller zeigten, dass dieses
eher verschmähte Werk der Jugendzeit sehr wohl ein reizvolles Charakterstück ist.

In der Sonate A-Dur op. 69, die Beethoven kurz nach der Eroica schrieb, ist die Handschrift des Meisters unverkennbar, und in der von den beiden Musikern dargebrachten Weise ist sie ein unglaublich einprägsames Stück.
Sigurd Müller beantwortete die Frage, wie die drei Komponisten Offenbach, Fauré und Saint-Saëns zueinander standen und in welchem künstlerischen und politischen Umfeld sie sich bewegten.
Es gab echte Feindschaften, Freundschaften, Wertschätzung, Querverbindungen und Seelenverwandtschaft über alle Grenzen hinaus. Alle drei Komponisten erlebten die Herrschaft von Napoleon III.. Paris galt in dieser Zeit als die Metropole der Musik, und nur dort konnte man Wertschätzung und Ruhm erlangen. Wagner sagte zum Beispiel: „ In Paris werden die Sinfonien Beethovens am besten interpretiert.“


Offenbach und Wagner mochten sich nicht und sparten nicht mit gegenseitigen Beleidigungen. Da nutzte es auch nichts, dass Wagner nach Offenbachs Tod zugab, dass sein Rivale ein zweiter Mozart sei, den man nicht kopieren könne. Auch Berlioz und Wagner standen sich offen feindselig gegenüber. Die nationalistischen Tendenzen wurden immer deutlicher. Der Krieg von 1870/71
war der Höhepunkt dieser Bestrebungen. Er zerstörte sehr viele wertvolle Verbindungen und Entwicklungen zwischen den Komponisten und schuf tiefe Gräben.


Gemeinsam war den drei Komponisten Offenbach, Fauré und Saint-Saëns, dass sie nicht nur untereinander einen kollegialen Kontakt, sondern auch die Liebe zur Kombination von Cello und Klavier pflegten. Und diesem Umstand ist es zu verdanken, dass wir an dem Konzertabend so außergewöhnliche Musik virtuos präsentiert bekamen.


Von Jacques Offenbach, einem angesehenen Cellisten, der die Damen und Herren der Pariser Salons begeisterte, bevor er die musikalische Landschaft mit seinen Ideen auf den Kopf stellte, hörten wir das sehr berührende Stück für Klavier und Cello Les Larmes de Jacqueline, von Claudia Kohl und Sigurd Müller sehr einfühlsam gespielt.

Faurés Vorliebe für die tiefen Töne erfüllte den Raum bei den Stücken Elégie, op.24, Sicilienne und Après un rêve, ein schwärmerisch zärtliches Stück, das Gabriel Fauré ursprünglich als Lied an seine Geliebte komponiert hatte. Es war, als ob man in einen Traum eintaucht.
Das temperamentvolle Stück Allegro Appassionata, op. 43 bildete den Schlusspunkt des Konzerts. Die Zeit war viel zu schnell vergangen, so kurzweilig war das Programm.


Waren die gespielten Werke bisher für Cello und Klavier geschrieben und präsentiert, folgte als Zugabe das berühmte Stück LE CYGNE – DER SCHWAN aus dem Karneval der Tiere von Saint-Saëns, das einzige Stück, das der Komponist nur für das Cello geschrieben hat. Es war überwältigend, wie man mit dem Cello das Plätschern des Wassers und die Leichtigkeit der
Schwanenbewegung ausdrücken kann.
Ein anspruchsvolles, kurzweiliges, informatives und unterhaltsames Programm, das das Deutsch-Französische sehr einfühlsam herausstellte, bescherte dem Publikum einen wunderbaren Abend. Es dankte den beiden Künstlern Claudia Kohl und Sigurd Müller mit einem sehr lang anhaltenden Applaus.
( Marie-Lu Matzke)


Nach dem Auftakt mit klassischer Musik folgt der Chansonabend mit Michael Wiersing-Sudau: JE JURE QUE JE VOLAIS” – DIE CHANSONS VON JACQUES BREL
Eine Kooperationsveranstaltung der VHS Bielefeld mit der Deutsch–Französischen Gesellschaft Bielefeld e. V. Es war der zweite Vortrag des Referenten zu den französischen Chansonniers und Chansonnières… und wieder sehr gut besucht.


Hier der Bericht von Marie-Lu Matzke:


Wer kennt ihn nicht – Jacques Brel, einen der größten Interpreten moderner französischsprachiger Lieder, obwohl d nach ihm hat dermaßen alltäglich-existenzialistische, pathetische Texte
geschrieben, ohne damit je peinlich zu wirken. Keiner hat seine Lieder so authentisch, geradezu radikal zärtlich, anklagend, genießend… aufgeführt.
Michael Wiersing Sudau hat viel zu erzählen, und deshalb startet die Veranstaltung bei einem Glas Wein oder Wasser auf seinen Wunsch sofort – ohne große Vorstellung. Er wird an diesem Abend eine Reihe bedeutender Chansons Brels vorstellen und die Hintergründe erläutern, wie die einzelnen Chansons das Licht der Welt erblickten und in die Welt hinausgingen. Die vorbereiteten Texte auf Französisch und Deutsch erleichtern das Verständnis sehr. Herr Wiersing Sudau lässt das zahlreich erschienene Publikum nachempfinden, was Brel bei der Präsentation seiner Lieder empfand. Der Interpret schlüpft wie kein anderer in die Rollen, die er darstellt, lässt das Publikum wie z.B. bei dem Lied L’IVROGNE empfinden, was er besingt.


Brel wirkt bei der Beschreibung von Alltagssituationen so authentisch, dass selbst banale Begebenheiten, die er schildert, in keiner Weise kitschig wirken. Der Vortrag beginnt mit dem Lied LES PRÉNOMS DE PARIS, dem Klassiker, den fast alle kennen. Vorfreude, Freude, Glück, Hoffnung, Zärtlichkeit, Liebe, Zweifel, Traurigkeit, Wehmut beim Abschied … durch den Regen, das Grau der Stadt, das Adieu beim Abschied und dann wieder die Hoffnung auf eine erneute Wiederkehr
sind nur einige Aspekte, die im Lied interpretiert werden. Brel schrieb seine Texte selbst. Und wenn der Erzähler zwischen den Emotionen hin- und hergerissen ist, dann verkörpert Brel diesen Menschen auf der Bühne.


Er war elf Jahre alt, als der Krieg ausbrach. Sein Lied MON ENFANCE ist autobiografisch geprägt. Über diese Zeit berichtet er in vielen Facetten, und dann, in der drittletzten Zeile, schreibt er: „Und dann – kam der Krieg.“ Jeder kann seine Erfahrungen mit dem Krieg in diese Zeile legen. Aber wie in allen Liedern, gibt es auch Hoffnung, etwas Positives: Hier der Schluss des Liedes: „Tja und nun sind wir hier, gemeinsam heute Abend.“


Den Krieg und die Erlebnisse verarbeitet er in den Liedern LA STATUE und LES SINGES, die Wiersing Sudau anschaulich erläutert. Im diesem Lied rechnet Brel mit der Menschheit ab, die seiner Meinung nach aus der Geschichte nicht viel gelernt und sich nicht weiterentwickelt hat. Wie aktuell dieser Klassiker ist, zeigt das momentane Weltgeschehen um Wiederaufrüstung.


Das Lied MADELEINE stellt Wiersing Sudau in einem Videoclip vor. Es ist ein witziges Chanson, das den Protagonisten in seinen Versuchen beschreibt, seine unerreichbare Liebe zu erobern, dem aber alles misslingt und der trotzig optimistisch in die Zukunft schaut: „Je lui dirai des „je t’aime“ et Madeleine, elle aimerait ça.“


Der Name Frida „… Et puis y a Frida. Qu’elle est belle comme un soleil, et qui m’aime pareil, que moi, j’aime Frida! » steht in dem Lied CES GENS-LÀ für die Hoffnung in einer Welt, in der man sich über andere lustig macht, deren Gefühle verletzt, die aus einem Milieu kommen, das sie nicht verlassen können. Es ist die Beschreibung der Menschen aus Nordfrankreich, wo man sehr hart arbeiten musste und mit 50 – 60 Jahren körperlich verbraucht war, wo man Fremde mit
Argwohn betrachtete – wie Fridas Eltern den Protagonisten des Chansons.


Der sehr informativ-bewegende Abend endete mit dem Lied QUAND ON N’A QUE L’AMOUR mit den Worten: « Quand on n’a que l’amour pour parler aux canons, et rien qu’une chanson pour convaincre un tambour, alors, sans avoir rien que la force d’aimer nous aurons dans nos mains, amis, le monde entier. » (Wenn man nichts anderes als die Liebe hat, um zu den Kanonen zu sprechen, und nichts anderes als ein Lied, um die Trommeln des Krieges zu überzeugen, also, wenn
man gar nichts anderes hat als die Kraft der Liebe, werden wir dennoch, Freunde, die ganze Welt in unseren Händen halten.)


Seit 25 Jahren führt die DFG den Vorlesewettbewerb für Bielefelder Schülerinnen und Schüler durch. Also konnten sich alle Beteiligten auf eine Jubiläumsausgabe des französischen Lesefrühlings für Kinder und Jugendliche freuen, der in den Räumen der Stadtbibliothek stattfand.
Vor 25 Jahren hatte Frau Brinker, die damalige Vorsitzende der DFG, die Idee, das Französische in den Schulen zu fördern. Bis dahin gab es wenige Angebote für Französischlernende, sich einem Wettbewerb zu stellen und die Herausforderungen anzunehmen. Attraktive Preise, ein hohes Engagement der Schülerinnen und Schüler und ihrer Lehrkräfte sorgten bei allen Beteiligten für eine große Resonanz. Frau Matzke organisiert seitdem diesen Wettbewerb.


Auch in diesem Jahr zeigten die Schülerinnen und Schüler der verschiedenen Schulen ihre enorm gute Lese- und Vortragskompetenz. Den Auftakt zum Wettbewerb bildete der entspannte Besuch bei Frau Laurent im Bibliobus. Die mobile Bibliothek voller ansprechender Medien – Bücher, Comics, DVDs und Filme.

Zu erleben, war eine sehr schöne Erfahrung, da die Schülerinnen und Schüler zum ersten Mal im Bibliobus waren und sie zudem noch einen Rucksack mit Geschenken erhielten. Zur Freude der Mädchen und Jungen war darin auch ein Jugendroman enthalten: Le secret de Mona, der den PRIX DES LYCÉENS ALLEMANDS 2023 erhalten hatte.
Die positive Atmosphäre war auch beim anschließenden Wettbewerb zu spüren. Mochten die Vortragenden auch vielleicht etwas nervös gewesen sein, man merkte es ihnen nicht an. Und so gab es großen Applaus für die überzeugenden Leistungen, die von der Jury, Frau Dr. Golawski-Braungart und Frau Matzke, mit attraktiven Geldpreisen, einem Roman und einer Urkunde gewürdigt wurden.


Und hier die Preisträger: Maria Pénélope Nitsch, Elias Klassen, Laura Klar, Leo
Rüdiger, Rawas Gavan und Julia Bargen


Am 2. April 2025 war schließlich Klaus Jöken, renommierter Übersetzer der Asterixabenteuer, zu Gast in Bielefeld. Die Herausforderung des Übersetzens – Wie man Gags und Humor in eine andere Sprache übertragen kann.
Der Auftakt zu dem Einblick in die Arbeit des Asterixübersetzers hätte nicht besser sein können, denn am Vorabend hatte „Arminia“ gegen die Übermacht der „Leverkusener“ angekämpft, sie besiegt und war ins Pokalfinale eingezogen. Zaubertrank oder einfach nur Können – dieses Duell erinnerte sehr an die Gallier, die den Römern und allen Gefahren trotzen.
Wie sehr das Thema Asterix die Bielefelderinnen und Bielefelder anspricht, konnte man an dem bis auf den letzten Platz gefüllten Saal erkennen.

Nach freundlicher Begrüßung durch Frau Teller als Repräsentantin der Stadtbibliothek und Frau Matzke als Vorsitzende der Deutsch-Französischen Gesellschaft nahm Herr Jöken, gestützt auf zahlreiche Illustrationen, sehr humorvoll und detailliert das Publikum mit auf die Reise zur großen Kunst der Übersetzung von Asterixcomics.


Durch die Liebe zu einer Französin kam Jöken nach Frankreich, erlernte die französische Sprache als Autodidakt und begann seine Karriere als Übersetzer. Seit 1995 übersetzt er Lucky Luke und seit 2004 Asterix. Die Asterixabenteuer sind die meistverkauften Comics der Welt: Allein in Deutschland wurden 1,5 Millionen Exemplare pro Band und in Europa bisher 390 Millionen Exemplare verkauft.


Welch ein Vergnügen also, mit dem Experten Jöken hinter die Kulissen des
Übersetzens schauen zu dürfen. Nach einer kurzen Einführung in die Erfolgsgeschichte des kleinen Galliers und seines Freundes Obelix – die Asterixabenteuer wurden erstmals für die
Jugendzeitung „Pilote“ von Goscinny als Autor und Uderzo als Zeichner geschaffen und wurden sofort berühmt – erläuterte Jöken die Bedingungen seiner Arbeit anhand vieler visueller Beispiele.
Die Arbeit eines Übersetzers ist äußerst fordernd, da sie sehr viel Detailarbeit und Gefühl für die Sprache verlangt. Nach eigenen Angaben benötigt Jöken etwa zwei Monate intensiver Arbeit für einen Band. Nur etwa jeder fünfte Gag im Original kann ohne Veränderung ins Deutsche übertragen werden. Und die anderen vier Fünftel? Hier ist die Kreativität des Übersetzers gefragt. Es bedarf sogar intelligenter Neuschöpfungen, um den französischen Humor für ein deutsches
Publikum verständlich zu machen. Das Panel ist dabei übrigens unantastbar und darf in Form und Größe, was auch für die Sprechblasen gilt, nicht verändert werden. Auch darf ein Name für einen Protagonisten nur einmal verwandt werden, er muss in der jeweiligen Landesssprache witzig sein und vor allem auf einem bestimmten Laut enden. Dieses erklärte Jöken anschaulich an einigen
Beispielen… Das Publikum amüsierte sich sichtlich.


Eine wichtige Maxime bei der Übersetzung lautet: Der Text soll nicht übersetzt, sondern in eine andere Sprache übertragen werden, was dem Übersetzer einige Freiheiten gibt, muss er doch die Mentalität des Landes und die Besonderheiten der Sprache berücksichtigen. In seinem Vortrag erklärt Jöken anhand zahlreicher Bilder, wie komplex es ist, den französischen Sprachwitz ins Deutsche zu übertragen. Ein Beispiel wurde besonders ausführlich anhand des Albums Asterix
in Italien behandelt. Ein sabotierendes Wagen-Team, im französischen Original namens Cimbres (Anm.: eine Anspielung auf die Kimbern, einen germanischen Stamm, der in Jütland ansässig war und sein Unwesen trieb.) Les Cimbres” lautet so ähnlich wie les timbres, die Briefmarken. Und daran reihen sich dann weitere – ausschließlich in der französischen Sprache verständliche – Sprachwitze an, von “frankieren” (affranchir) und Briefmarken-Sammlung. Wie soll man diese
Wortspiele ins Deutsche übertragen? Und hier erklärt Jöken: „Dieser Gag lässt sich natürlich nicht einfach ins Deutsche übertragen. Die Doppeldeutigkeit von timbre als Briefmarke und freimachen würde verloren gehen.“

Also wählt Jöken eine kreative Neuschöpfung. Aus den frz. Cimbres werden die die Markomannen, ebenfalls ein bedeutender germanischer Stamm, der aber statt in Dänemark in Schwaben angesiedelt war. Eine geniale Idee, denn in den Markomannen steckt auf Deutsch “die Marke” (Briefmarke), und so spielt Jöken ebenfalls mit der “Briefmarke”, die als “timbre” in den Cimbres mitschwingt. Es bietet sich ihm zusätzlich die Möglichkeit, weitere humorvolle Anspielungen aus
dem Original mit einzuflechten. So sprechen die Markomannen in der deutschen Fassung in schwäbischer Mundart. Und wer genau hinschaut, erkennt die doppelte Bedeutung von Briefmarke und Automarke mit dem subtilen farblichen Hinweis auf die schwäbischen Porsche-Farben (siehe Farben des Rennwagens im Original).Fazit: Die Übersetzung muss für den deutschen Leser verständlich und witzig sein und darf nicht gegen bestimmte Regeln verstoßen. Die Übersetzungen
müssen eng mit den Autoren und dem Verlag abgesprochen werden. Erst wenn alle mit dem deutschen Text einverstanden sind, darf er gedruckt werden. Alles unterliegt der strengsten Geheimhaltung bis das neueste Asterixabenteuer die Welt erobert. Und lange müssen wir darauf nicht warten. Bereits am 23. Oktober 2025 erscheint der 41. Band vom Autor Fabcaro, dem Zeichner Conrad und dem Übersetzer Jöken. Wir blicken diesem Erscheinungsdatum mit dem neu
erworbenen Hintergrundwissen sehr gespannt entgegen.


Un panier rempli de chocolats et un cœur rempli de joie : voilà tout ce qu’on vous souhaite pour cette belle fête! Joyeuses Pâques! Einen Korb voller Schokolade und ein Herz voller Freude wünschen wir Ihnen. Fröhliche Ostern! Bleiben Sie gesund… et à bientôt!


Cordialement,


gez. Marie-Lu Matzke (Vorsitzende)

Doris Burzlauer (2. Vorsitzende)

Ulrich Reetz (Schatzmeister)


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